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Fermeture de nos locaux
Les locaux de la Chambre d'agriculture de la Meuse seront fermés au public du 25 décembre 2024 au 1er janvier 2025 inclus.
Une permanence EDE est toutefois assurée - contact téléphonique (uniquement matin) : 03.29.83.30.09.
Pour toute autre question, n'hésitez pas à nous contacter via le formulaire en ligne
A bientôt !
Dans un contexte d’érosion du cheptel meusien, nous restons convaincus que notre système de polyculture-élevage est vital pour notre département.
Pour atteindre ces objectifs, vous, agriculteurs, devez être performants et agiles. Afin de maximiser votre compétitivité et de rendre votre projet viable, faites-vous accompagner par nos conseillères du service élevage dès l’émergence de votre projet. Elles vous offrent un suivi individuel pour approfondir votre réflexion ou un suivi de groupe pour partager et progresser ensemble !
L’Identification Pérenne Généralisée (IPG) est une exigence réglementaire cruciale pour garantir la traçabilité historique et géographique des animaux d’élevage, incluant les bovins, ovins, caprins et porcins, de leur naissance jusqu’à la commercialisation de leur viande. Cette identification est également obligatoire pour les ateliers de poules pondeuses.
L'identification des bovins est basée sur les principes suivants :
Depuis 2001, l’EDE a mis en place un site internet permettant à l’éleveur de réaliser ses obligations réglementaires vis à vis de l’identification sur lequel vous pouvez aussi :
L'identification est applicable dès le 1er animal.
Le principe général est l'identification individuelle de chaque animal et la traçabilité de ceux-ci de la naissance à la fin de vie. A l'exception des sorties vers l'équarrissage, les mouvements d'entrées et de sorties des animaux doivent être accompagnés d'un document de circulation et notifiés à l'EDE.
Les modalités de cette identification, sont :
La notification des mouvements porcins est obligatoire depuis la parution de l'arrêté du 17 juillet 2009 La notification consiste à transmettre dans un délai maximum de 7 jours les informations décrivant un mouvement d'animaux à la base de données nationale BDPORC.
En parallèle de ces notifications, la remise à l'acheteur ou au transporteur pour tout mouvement d’animaux d'un document d’accompagnement, comportant les informations de sites de départ, transporteurs et site d’arrivée, reste obligatoire.
En cas de divagation sur la voie publique, la personne compétente au niveau d’une commune est le Maire. Néanmoins l’Etablissement Départemental de l’Elevage peut vous apporter son aide en contactant le 03 29 83 30 30.
Nous contacter
Établissement de l’Élevage Meuse
Des agents à votre service du lundi au vendredi de 08h30 à 12h00
Votre métier d’éleveur vous amène à devoir maîtriser de nombreux domaines différents, techniquement et économiquement. Nos services vous proposent un accompagnement approfondi et personnalisé en fonction de vos objectifs et points de progrès identifiés. Nous vous conseillons en :
La Meuse compte environ 40 producteurs avicoles dont une vingtaine pratique la vente directe en volaille de chair ou en poules pondeuses. Les autres producteurs travaillent avec des industriels en contrat de commercialisation : SIEBERT, Gastronome-Moulins Henry, CDPO, ONE-Cocorette, SANDERS, couvoirs de l'Est, etc...). La Chambre d'agriculture :
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Axelle METTAVANT
Conseillère elevage
La filière porcine française doit retrouver de la compétitivité et restaurer la confiance des citoyens et des consommateurs dans un contexte en évolution :
L’outil de Recherche - Développement et Innovation est au service de tous les métiers de la filière. Son expertise répond aux défis de :
La filière doit également s'adapter pour répondre aux orientations professionnelles, aux politiques publiques et aux besoins des entreprises :
L'IFIP, au service des métiers de la filière porcine élabore une protéine de choix pour nourrir les hommes.
Les abeilles, des alliées pour nos cultures : protégeons-les !
En butinant de fleur en fleur, les insectes pollinisateurs participent à la production de nombreuses cultures et contribuent aussi à la qualité des récoltes. À l’échelle mondiale, 80 % des plantes à fleurs se reproduisent grâce à ces insectes auxiliaires, en particulier aux abeilles.
Les causes de dépérissement des abeilles sont multiples. La préservation de la santé du cheptel apicole implique la mise en place de bonnes pratiques au niveau de :
Pour protéger les insectes pollinisateurs, les pouvoirs publics ont renforcé les études écotoxicologiques, la réglementation, ainsi que les contrôles sanitaires et phytosanitaires.
Décision modificative de la décision INTV-SANAEI-2016-48 du 27 décembre 2016 précisant les modalités de mise en œuvre du programme apicole triennal français 2017/2019
Cette décision expose les conditions d'octroi d'aides européennes en faveur du secteur de l'apiculture, dans le cadre de la mise en œuvre du programme apicole européen (PAE) français, ainsi que les modalités pratiques d'instruction, de contrôle et de mise en paiement des actions présentées à ce titre pour les années 2 et 3 du programme triennale 2017/2019.
Les modifications notables sont :
Pour faciliter la lecture, les modifications de textes apparaissent en bleu.
Plantes nectarifères et pollinifères à semer pour les abeilles
Les abeilles se nourrissent essentiellement du nectar et du pollen des fleurs. Leur survie dépend en grande partie de la disponibilité de ces ressources dans leur environnement. Les insectes pollinisateurs ont besoin pour leur équilibre alimentaire de butiner une grande diversité d’espèces florales agricoles, horticoles et sauvages. L’uniformisation des paysages et l’artificialisation des territoires ont contribué à une réduction des ressources disponibles dans le temps et l’espace. Le maintien et le renforcement de la diversité floristique (arbres, arbustes, plantes annuelles…) sont essentiels à la santé des abeilles et des autres pollinisateurs.
Les Bonnes pratiques de traitement en floraison pour protéger les abeilles
Depuis 2003, un arrêté interdit les traitements insecticides et acaricides en floraison en présence d’abeilles.
Le Gouvernement a récemment élaboré un projet soumis à consultation, qui conduisait à autoriser, avant tout, les traitements après le coucher du soleil. Compte tenu des risques accrus lors des interventions de nuit et des difficultés de mise en oeuvre concrète sur le terrain d’un tel projet, la FNSEA, ses Associations Spécialisées et les Instituts Techniques ont travaillé ensemble pour concilier les activités agricoles et apicoles avec la préservation des abeilles et des autres pollinisateurs.
Dans ce cadre, des fiches de recommandations, co-construites entre agriculteurs et apiculteurs de nos réseaux, adaptées pour chaque culture, ont été élaborées. Elles visent à faciliter l’application de l’arrêté du 28 novembre 2003 toujours en vigueur. Au-delà des bonnes pratiques, les contacts directs entre les agriculteurs et les apiculteurs sont à poursuivre et à renforcer.
Concilier productions apicoles, service de pollinisation et productions végétale et animales dans le cadre d’un GIEE
La démarche présentée ici permet de mettre en œuvre collectivement des actions agro-écologiques en faveur des abeilles. Il s’agit d’un long processus duquel émergeront : des itinéraires techniques adaptés aux objectifs recherchés, des références technico-économiques liées à ces itinéraires techniques, des formes collectives d’organisation du travail et de gestion du territoire. Les mots-clés de cette démarche sont : économique et écologique.
Cette fiche pédagogique s’adresse aux conseillers des productions végétale et animale (apiculture incluse) accompagnant les agriculteurs souhaitant créer des relations plus étroites avec les apiculteurs et mettre en œuvre des pratiques favorables aux insectes pollinisateurs sur leur exploitation.
Association pour le Développement de l’Apiculture du Grand Est (ADAGE)
L'ADAGE œuvre au développement de l'apiculture dans la région Grand-Est en mettant en place un programme d'actions (expérimentations, formations, conseils techniques, études ...) à destination de tous les apiculteurs.
Son programme d'action comporte 6 axes stratégiques :
Etiquetage du pot de miel
La réglementation définit le miel, fixe les dénominations légales de vente des différentes variétés de miel et précise les modalités générales et particulières d'étiquetage et de présentation, ainsi que les caractéristiques de composition des produits.
Décision modificative de la décision INTV-SANAEI-2016-48 du 27 décembre 2016 précisant les modalités de mise en œuvre du programme apicole triennal français 2017/2019.
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Gilles FRENE
Responsable des partenariats et de la transversalité
L’optimisation de la conduite des surfaces fourragères, est une voie importante d’amélioration des résultats technico-économiques des troupeaux. Partant du constat que ce domaine est trop souvent sous valorisé, la Chambre d’Agriculture vous propose cette note technique afin de vous accompagner dans vos décisions.