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Fermeture de nos locaux
Les locaux de la Chambre d'agriculture de la Meuse seront fermés au public du 25 décembre 2024 au 1er janvier 2025 inclus.
Une permanence EDE est toutefois assurée - contact téléphonique (uniquement matin) : 03.29.83.30.09.
Pour toute autre question, n'hésitez pas à nous contacter via le formulaire en ligne
A bientôt !
Dernière mise à jour le 29 novembre 2024
Annoncés par l'Etat ouverts auprès des banques du 15 décembre 2024 au 30 avril 2025.
Cette première aide viendra en soutien des agriculteurs victimes de difficultés conjoncturelles, en lien avec les aléas climatiques. Il s’agira de prêts de moyen terme (entre deux et trois ans), à un taux maximum de 1,75 % pour un prêt de 24 mois et 2,35 % pour un prêt de 36 mois. Les jeunes installés depuis moins de 5 ans bénéficieront d’une bonification supplémentaire pour un taux d’intérêt maximum à 1,5 % sur 24 mois, et 2,15 % sur 36 mois. Le prêt est plafonné à 50 000 € par exploitation.
Pour être éligible, il faut avoir perdu au moins 20 % de son chiffre d’affaires en 2024, par rapport à sa moyenne historique de référence, et si l’on dispose d’une épargne de précaution, en avoir activé au moins 60 % du montant.
Le deuxième dispositif est un soutien aux agriculteurs qui rencontrent des difficultés plus structurelles. Il s’agira de prêts de consolidation à long terme, sur une durée maximum de 12, octroyés par les banques avec une garantie publique. Cette garantie, assurée par BPI France, couvrira 70 % du montant du prêt, et son coût sera remboursé par l’Etat. Le montant de ce prêt sera plafonné à 200 000 €, et le dispositif sera opérationnel début 2025, indique le ministère de l’agriculture. En complément de cette garantie, chaque banque s’engage à faire un effort sur les conditions financières, afin de minimiser le coût pour le bénéficiaire.
Les agriculteurs pouvant y accéder sont ceux dont le taux d’endettement global est supérieur à 50 % ou dont le rapport EBE/chiffre d’affaires est inférieur à 25 %.
Un suivi régulier du dispositif sera assuré par le comité des financeurs publics, sous l’égide du préfet, en lien avec les banques.